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    UNE PREMIÈRE HISTORIQUE : MARIE-CLAIRE DIEUDONNÉE NSENG-ELANG, PREMIÈRE FEMME PROCUREUR GÉNÉRAL PRÈS LA COUR SUPRÊME

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    Madame Nseng-Elang n’est pas une inconnue dans le paysage judiciaire camerounais. Magistrate de haut vol, elle a gravi avec mérite tous les échelons de la magistrature, s’imposant par son professionnalisme, sa maîtrise du droit, et son engagement indéfectible envers les principes de justice et d’équité.


    Appréciée par ses pairs pour son sens du devoir, elle incarne une génération de femmes leaders, sobres mais redoutablement efficaces, qui ont su s'imposer dans des environnements longtemps dominés par les hommes.


    Un message fort aux jeunes filles et une Promesse électorale tenue


    Au-delà de son caractère institutionnel, cette nomination est un message puissant adressé à la jeunesse féminine camerounaise : le plafond de verre peut être brisé. Le sommet de la pyramide n’est plus un rêve inaccessible, mais une réalité possible pour celles qui travaillent avec rigueur et détermination. C'est aussi une des promesses électorales du Président Paul Biya qui vient de se matérialiser.

    Une nomination hautement symbolique


    C’est la première fois dans l’histoire du pays qu’une femme accède à ce poste stratégique, situé au sommet de la hiérarchie judiciaire. En la désignant à ce poste, le Président de la République réaffirme son engagement constant pour l'égalité des genres et l'émancipation des femmes, au-delà des discours, par des actes forts.


    Dans un contexte où la justice est appelée à jouer un rôle central dans la consolidation de l’État de droit, cette nomination est également perçue comme un signal fort de confiance envers la compétence, l'intégrité et la rigueur des femmes magistrats dans les plus hautes sphères.



     
     
     

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